Mathieu Rigouste comparaissait jeudi 5 janvier devant le tribunal de Toulouse, accusé de «violences» et «outrage» sur des policiers lors d’une interpellation en 2013. Presque dix ans après les faits, le chercheur a fait valoir qu’il avait été, lui, victime de violence policière cette nuit-là. Le délibéré est attendu dans un mois.