En mettant en scène l’horreur de ses actes, l’organisation palestinienne utilise désormais la même grammaire visuelle que celle issue du 11-Septembre, explique l’écrivain et universitaire Eric Marty dans une tribune au « Monde », qui estime que les termes de « crimes de guerre » sont « insuffisants » pour caractériser l’attaque contre Israël.