Les avocats Mazen Darwish et Clémence Bectarte dénoncent, dans une tribune au « Monde », l’absence de volonté politique pour appliquer le mécanisme judiciaire qui permet de poursuivre les présumés responsables d’un génocide ou d’un crime de guerre commis dans un autre pays, alors que la Cour de cassation doit examiner le cas de deux Syriens.