À Callac, des élus favorables à un projet d’installation de réfugiés, initié par un fonds privé, sont menacés de mort ou de viol. «Ils ne peuvent pas nous comprendre s’ils ne nous connaissent pas...», s’étonne Mariam, originaire du Darfour. «Q"uand on perdra une classe d’école", ce seront les premiers à râler», s’agace un adjoint au maire.