L’américain a revu à la baisse ses prévisions de ventes pour 2023. Son partenaire allemand déprécie ses stocks. Le marché des vaccins est aléatoire et versatile, il n’y en a jamais assez quand la crise arrive, et on passe à autre chose quand l’orage est passé, observe Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».