Début mars, le ministre des transports allemand, Volker Wissing, a déclaré qu’il ne voterait pas en l’état la proposition législative européenne sur la fin des moteurs thermiques en 2035, au profit du développement des carburants de synthèse. Un choix peu judicieux, estime dans sa chronique Stéphane Lauer, éditorialiste au « Monde ».