Malgré l’interdiction de leur diffusion dans l’Union européenne, la chaîne RT France et le site Sputnik, financés par Moscou, continuent d’être visibles par des voies de traverse. Et le média en ligne Omerta, soutenu par l’homme d’affaires Charles d’Anjou, a grossi à l’automne les troupes des porte-voix russes.