Vendredi 19 mai, le tribunal a jugé insuffisantes les preuves de l’implication directe du sulfureux homme d’affaires Marian Kocner en dépit d’un « haut niveau de suspicion ». En 2018, l’assassinat du jeune reporter avait provoqué une vague de manifestations qui avait poussé le premier ministre populiste d’alors, Robert Fico, à la démission.