Un an après l'attaque perpétrée le 7 octobre par le Hamas en Israël, on ne peut qu'appeler à la paix, « la seule action qui ouvre l'avenir », écrit Hervé Kempf dans cet éditorial.
Les mots manquent. Un an après l'attaque terroriste menée par le Hamas, qui a tué plus de 800 civils et emporté plus de 200 otages, comment dire l'affliction devant le massacre continu qui a ensuite emporté plus de 40 000 vies à Gaza, devant des enfants amputés à vif, un territoire annihilé, l'extension de la violence meurtrière en (...)