Deux poids, deux mesures. D'un côté, la préfecture de police a autorisé une manifestation de plusieurs centaines de militants d'extrême droite à Paris samedi 6 mai. De l'autre, les députés Renaissance, le parti d'Emmanuel Macron, ont obtenu mercredi 10 mai la création d'une commission d'enquête parlementaire sur les « groupuscules, auteurs de violences à l'occasion [des] manifestations » qui ont eu lieu entre le 16 mars et le 3 mai 2023. Plus précisément, cette commission d'enquête va s'intéresser à « la (...)
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