Depuis 2016, date de son dernier programme officiel, le Grand Old Party a répudié ses anciennes convictions, en matière d’immigration ou de libre-échange, et s’est converti à un populisme alimenté par l’anxiété identitaire. Or les élections de mi-mandat l’ont montré : la guerre culturelle à outrance risque de se traduire par des revers électoraux.