Auditionnée mercredi par la commission d’enquête sur les ingérences étrangères, Marine Le Pen a assuré que le prêt russe décroché en 2014 était «sans contrepartie»" "politique. Elle a reconnu ne s’être posé aucune question sur l’origine des fonds, ni sur la proximité de la banque prêteuse avec le Kremlin.