Marine Le Pen a toujours justifié son emprunt russe par le refus politique que lui auraient opposé les banques françaises. Un rapport que s’est procuré Mediapart démontre qu’en réalité, ces refus de prêt s’expliquaient par des raisons économiques: la dette du parti et sa mauvaise gestion financière. L’inspection générale des finances et l’inspection générale de l’administration dézinguent une possible «banque de la démocratie» que le RN appelle de ses vœux.