C’est la justice belge qui est à l’œuvre dans l’affaire dite « Qatargate », et non la justice européenne. Cette dernière ne dispose d’aucun moyen de dispositif de poursuite pénale ciblant la corruption lorsque celle-ci ne vise pas à détourner des fonds communautaires, regrette, dans une tribune au « Monde », la juriste Juliette Lelieur.