Ni la crise monétaire ni les conséquences du tremblement de terre du 6 février n’ont eu raison, une nouvelle fois, de l’aptitude du président turc à se maintenir au pouvoir. Donné perdant par les sondages avant le premier tour de l’élection présidentielle, le chef de l’Etat l’a emporté dimanche avec 52 % des suffrages.