Sans pollution de l'air, pas d'impressionnisme ? Une étude, publiée mardi 31 janvier dans la revue de l'académie des sciences étasunienne (Pnas), suggère que les changements atmosphériques causés par la révolution industrielle et ses nuages de fumée toxique ont influencé la peinture du XIXe siècle.
Les émissions de dioxyde de souffre ont explosé dans les villes européennes à partir de 1850, écrivent les auteurs. Cette substance toxique a profondément modifié « l'environnement optique », diminuant les (...)