Un collectif animé par l’universitaire Catherine Coquio et l’éditeur Farouk Mardam-Bey constate, dans une tribune au « Monde », que la politique humanitaire en Syrie, sous l’égide de l’ONU, est réduite au strict minimum en raison des pressions russe et turque, alors que la population civile subit les effets de la guerre et de la crise économique.