La décision a été prise mardi soir après des auditions menées par le «comité de suivi» du mouvement. Il est reproché au jeune parlementaire de l’Isère, élu en juillet dernier, des violences commises entre 2020 et 2024 dans le syndicat étudiant qu’il a cofondé. Mediapart a pu échanger avec trois des personnes auditionnées.